Vesper L. Middleton - ADMIN

HISTOIRE





le 2 0 / 1 2 / 1 9 9 1 à Wellington.
Une femme avait leventre bien arrondis après près de huit mois et demi de grossesse. Une femme brune aux yeux bleu azure. Elle était assie dans le petit salon du duexième étage de la résidence de Wellington. Anastasy De Wellington, voilà qu'elle était son nom. Anastasy, voilà qui aurait pu faire d'elle la vilaine belle soeur de Cendrillon, mais il n'en était absolument rien. Anastasy était une femme brillante, elle était avocate et marié au duc de Wlleington, avant de se maier elle était contesse, d'un petit conté en Ecosse, dont le nom m'échappe par mégarde veuillez me pardonnz. la jeune femme avait épousé William Middleton, Duc de Wlleington. Il devait être lh'eure du thé quand la jeune femme assise sur le canapé lâcha sa tasse de thé, en face d'elle son mari, un homme plus âgé qu'elle lui lisait la London Times. William dit alors:

«Que T'arrive donc t il chérie ?»
«C'est.. C'est.. C'est le bébé je crois..»
«Le bébé ?»
«Oui.. j'ai des contraction et je .. je crois que j'ai perdue les eaux.. »
«Tu as perdue les eaux ? Nigel ! préparez la voiture, on va à l'hôpital tout de suite !»
« Oh Will, notre enfant tu crois que..»
«Tout va bien se passer ! Je te le promet ! »

Le père ne cèda pas à la panique, il devait se montrer digne tout de même, il ne devait pas paniquer, il n'avait que deux semaine d'avance, ce n'était sans doute pas grave, il espérait fortement. Il posa son journal sur la table, et se leva pour aider sa femme à se lever, il marcha à côté de la tasse cassé, et la conduit alors, vers la sorti du salon, où Nigel le maitre d'hotel avait fait préparé la voiture, Nigel le fidèel maitre d'hôtel, on ne pouvait trouver plus fidèle selon William. Il aida alors Anastasy à marcher vers al voiture qui les attendait. Dehors il y avait de la neige, on avait mis à la futur maman un manteau pour ne pas qu'elle attrape foird. la voiture était une Rolce Royce, qui pour l'époque, c'est à dire il y a près de 17 ans, était la toute dernière. Anastasy n'allait pas très bien, elle allait sans doute bientpot accocuhé, ils ne savaient pas encore s'il s'agissait d'une petite fille ou d'un petit garçon.. Lorsque tout le monde fut à l'intérieur, on ferma la porte et la voiture démara, laissant place à un mélodieux vrombissement de moteur, les voiture angalsies était délicate. Edward, le chauffeur démara puis sorti de la proprièté en direction de a ville de Wellington et de son hôpitale, autrefois les duchesse accouchaient à la maison, là elle avait éxigé d'être à l'hôpitale, c'était mieux et plus sécurisant, pour elle comme pour l'enfant. c'était le premier enfants de la famille Middleton. la voture s'arrêta devant l'hôpital de Wellington, la grande ville du coi, pèrs de 20 000 habitant. William fit descendre sa femme de la voiture, elle respirait difficlement, elle essayait d'installer une respiration calme comme le lui avait appris son médecin lors des cours de préparation à l'accouchement, elle essayai, mais dans la véritable situation c'était bien pire que dans le sumiltation, elle y parvenait diifcilement et quand elle y arriavait cela ne durait pas.. Direction les urgences. Y'a t il un médecin ? Oui, il y eut bel et bien un médecin, le Dorcteur Shpherd{xD Dr maouuur xD}.. le médecin so'ccupa d'Anastasy, la conduit immédiatement en salle de travail, le bébé arrivait, il n'était pas question d'attendre plus longtemps.. ce fut un accouchement facile, parfait, court et bien fait. l'infiière qui tenait dans ses bras une petit chose bien maigre dit alors en la mattant dans les bras de la mère.

«Voilà Madame, je vous présente votre petite fille.»
« Oh Comme elle est belle, Will regarde là!»
«Oh.. qu'elle est.. elle est magnfique.. vraiment magnifique..vraiment je.. je trouve pas les mots»
«Notre fille, à nous, notre chair, notre sang, notre fille,qu'elle est belle..»
«Que va être le nom de le petite duchesse de Wellington ?»
«Je.. On avait dit Vesper, j'adore ce prénom, je ne sais pas pourquoi, c'est, j'aime beaucoup la consonnce.»
«vesper, ça vient de l'allemand non ? Cela veut dire vêpre non ? la messe du soir ?»
«Oui, c'est ça, ça vient du latin, j'aime bien et toi ?»
«c'est un beau prénom qui ira comme un gant à notre belle enfant !»
«Bienvenue, Vesper Middleton, Duchesse de Wellington!»

les deux parents regardaient avaec tendresse la petite chose que la ère avait dans les bras, la petite vesper Middleton, une petite fille qui avait tout pour être heursue, des parent,s une famille et elle était riche, et elle serait belle, elle était bénie par les fée, qui s'étaient pecnhé sur son berceau, nulle doute, sa vie serait sans doute un conte, mais ne vous ai je donc jaamis dit que les conte de fée n'existent pas. Cette merveilleuse enfant qui derrière ses grands yeux bleu ne sait rien de la vioe en souffrira comme tout le monde, oui elle sera riche, bien élevé, belle, intelligente mais sa vie ne sera parfaite que pour les apparences, que pour la forme. la vie continuera..




Six ans plus tard.
Six année passèrent, tout allait pour le mieux, tout allait bien, tout était parfait. Vesper avait bien grandit, bien grandit. elle avait six ans, et était une jolie petite fille, qui se montrait fort intelligente et fort sage. c'était une enfant modèle, une gamine comme on aimerait en avoir tout le temps, sage et belle, intelligente. Elle n'avait aucun problème, elle passait ses journée à jouer dans la grande proprièté de la demeur des Ducs de Wellngton, elle ne rentrait que quand sa mère l'appellait. la jeune enfants avait dévéeloppé avec sa mère une forte relation de mère/copine, elle l'aodrait, elles se disait tout, presque tout, elle n'avait que 6 ans. Puis Vesper c'était fait une amie, une véirtbale, une seule et unique amie, Elizabeth hamilton, qui ets encore sa seule et veritable amie de toujours, que rien n'a jamais pu séparer. tout était parfait jusqu'à ce jour là.

vesper courait dans le parc de la proprièté, non loin derrière elle il y avait Elizabeth, sa meilleur amie, les jeunes enfants étaient déjà très très frotement liée, elles s'était presque juré à la vie à la mort. Les deux gamine couraient, vesper était la souis, et Lizzie était le chat.. vesper courait assez vite, mais Lizzie aussi.. vesper courait dans une petite robe blanche, ce jour là nous étions un dimanche, c'était un jour important, il y avait une réception à la maison, Vesper et Lizzie s'étaient échappé dès qu'elles l'avient pu. Joué, c'était le seule mot que les deux jeune filles avaient à la bocuhe. Elles avaient ce qu'on appelait le syndrôme de Peter pan, elles ne voualient pas grandir, surtout vesper, elle ne voualit aps devenir grande, elle ne voulait pas avoir de responsabilité, bien qu'elle soit encore trop jeune pour pouvoir comprendre, mais elle connaissait peter pan par coeur, c'était de loin l'hsitoire qu'eelle préférait. les deux jeune filles jouaient quand soudain Vesper s'arrêta, Lizzie lui toucha le bras et s'écria alors.

«C'est toi le chat Vesp' !»
«...»
«Vesp' ? Tu es mauvaise joueuse !»
«...»
«Vesp' dit quelque chose allez t'es po meuette ! »
«...»

Pas de réponse, Vesper ne répondait pas elle fixait docueemnt le sol, sans bougéer, les paroles de son amie lui sembalient lointaine, de plus en plus lointaine. Lizzie faillait repartir en courant croyant à la ruse de sa meilleure amie, elle ne bougeait peut être pas pour qu'elle sp'aporhce et a ce qu'elle redevienne le cat, encor eune fois, mais bizarement ce genre de mesquinerie n'était pas vraiment le style de vesper, loin de là, c'était même pas du tout, mais alors pas du tout son genre.. vesper ne se sentait pas bien, la jeuen fille avaot déjà un gros gro ruhme, alors que nosu étions en pleine été, le médecin lui avait dit de rester à l'intérieur au chaud et la voilà dehors, en robe à jouer. Mais on ne pouvaiot pas jouer dans la maison, Mrs Lexington n'aimait pas qu'on court dans les couloirs, elle c'était sa gouvernante... vesper ne bougeait plus, elle perdit soudain l'équilibre, puis tomba, et tout devient alors flou.. elle entendit au loin..

«VESPER! VESPER! VESPER! MRS MIDDLETON, MAMAN ! VERSPER EST PAR TERRE ! VENEZ VITE!! »

Puis plus rien.. Plus rien.. la jeune enfant n'était pas bien lorsqu'elle rouvrit les yeux. Elle se sentait mal, envie de vomir, mal de tête persistant.. Elle était couché dans un lit d'hôpital. Sur la chaise à côté d'elle une femme qui avait bein veillit en six et qui était son portait craché avec des années en plus était assie, elle avait sa tête enfouise dans se mains, comme si quelque chose de grave c'était produit. Il s'était produit quelque chose de grave, vesper était à l'hôpital,e cette odeur, cette pièce, les vêtmeent qu'elle portait, les perfusions qu'elle avait sur les poignet. Vesper était à l'hôpital, la jeune fille se sentaiot faible.

«maman..»
«...»
«Maman..»

la mère leva la tête et regard de ses yeux rougit par les larmes sa petite fille qui était enfin réveillé. Elle s'aclama alors en se lavant pour la serrer dans ses bras, puis se rassit en lui tenant sa petite main toute pâle et toute froide.

«ma chérie ! ma chérie»
«maman.. j'ai quoi, j'evux rentrer à la maison, s'il te plait !»
«Chérie, c'est pas possible, tu va devoir resté ici, ma chérie, j'aimerai telement que tu puisse rentré à la msion, mais le médecina dit que tu ne pouvait pas..»
«Pourquoi? j'ai Quoi ?»
«Tu es maldade ma chérie, malades..»
«j'ai le ruhme, c'est le docteur qui l'a dit, j'aurait pas du sortir avec Lizzie.. ou ets lizzie ?!»
«calme toi chérie, calme toi, Elizabeth va bien, elle est rentré chez elle avaec ses parents.. ça fait deux jours que tu dort ma puce, deux jour. Et ut n'as pas un simple ruhme, le médecin ne savait pas ce que tu avait, il aurait pu savoir, mais, il n'a pas su, si tu attrape sans cesse des ruhmes, que tu es faible que tu es maigre c'est parce que tu es malde, tu as fait un malaise dans le parc, un grave malaise »
«mais j'ai quoi ?!»
«Tu.. tu as une lecuémie ma chérie, c'est un cancer du sang, si j'ai bien compris ce que m'a expliquer le médecin..»
«Un cancer? Comme grand mère qui a un cancer de la peau ? mais c'est un truc de vieux !»
«Chut.. Non si grand mère a un cancer elle avait cas ne pas faire d'Uv toi tu as un cancer, je ne sais pas poruquoi, mais c'est grave chérie, même très grave, il va falloir que tu t'accroche ma chérie, tout le temps, à cahque seonde à partir de mainteant, tu me le promet, tu sais tu risque de.. mourir, alors reste avec nous je t'en prie.»
«promis...»

La mère et la filles pleurèrent à chaude larme, voilà comment le malheure vient s'imisser dans uen famille parfaite. la mère serra alors dans ses bras le fruit de son amour, sa chaire, son sang. la maldie commençait, le medecin aurait dû le voir avant selon les médecin de l'hôpital. la jeuen fille resta à l'hopital un moment, suivant les cours par correspondance, elle ne pouvait plus aller à l'éocle, à son grand regret.. Elle survécut docuement jsu'à l'âge de dix ans, durant qautre ans elle fut malades, ne quittant jamais l'hôpital, on la cuidit alors l'hôpitakl de Londres, le plus réputé.

Quand elle eut dix ans.
A dix ans la jeune fille n'alalit pas du tout bien, certain médecin disaient qu'elle n'en avait plus pour longtemps. d'autre disiat que la seule solution était un greffe de meolle osseuse, elles espérait que les médecin tentterai au moins cette dernière solution avant qu'elle meurt.. Pour elle s'était fait, elle allait mourir, laissant ses proches, tous.. Vesper lisait énormément malgrè la fatigue elle étudiait et était très intelligente, elle aurait tant voulu faire de grande étude, tout lui manquait, elle qui faisait de l'équitattion et de l'escrime aussi, deux sport qu'elle adorait, et les partie de golf les dimanche en famille lui manquait. Vesper avait mûrit d'un coup, l'hôpital 'lavait changé, elle était devenue sérieuse, et presque responsable.

La jeuen fille était assise dans son lit d'hôpital, cette chambre qui lui était dveenue famillière, elle était en pédiatrie, des gaamins étaient de passage, souevent même, des petts opération, Vesper avait les cheveux court, les médecin avait arrêté la chimiothérapie qui lui faisanet perdre ses cheveux, ils repoussiaent doucement. Elle lisait un livre, encore un, quand une te^te blonde passa par la porte et arriva en tromeb dans la chambre, sautant sur la lit pour serrer vesper dans ses bras, c'était Elizabeth évidement, qui d'autre ?

«VESPERRRRRRRR ! »
«Liziiiiieeee.. Tu m'étrangleee !! »
«Oups d'écolé ! j'suis trop contente de te voir ! »
«Moi aussi lizzie, super content,e même giga contente, tu sais ma mère ma dit que..»
«je sais.. elle ma dit aussi, mais ça va aller vesp' tu va y arrivé, ça va marché, tu va resté avec moi vu ?! Si tu part ça va pas le faire! Moi j'ai pas envie que tu me laisse ! »
«je sais mais..»
«Y'a pas de mais qui tienne ! Vu ?! »
«Mais je..»
«Non Non ! tu va survivre Vesp' ! tu as tant de chose à voir ! je veux que tu guérrise et qu'on aille ensemble à l'éocle et qu'on grandisent ensemble, c'est claire ?! »
«j'aimerai tellement mais je..»
«Quand on veut, on peut ! »
«Mouai..»

Un entousitahme c'était emparé de Lizzie, ou un desespoire de la perdre, c'était du pariel au même, elle voualit qu'elle guérise, et serait triste de la perdre.. Verp' non plus ne voulait pas le perdre pas elle, pas sa meilleur amie, elle ne voualit pas quitté ce mond,e non elle ne voulait pas, elle voualit resté près de son père, de sa mère, de son cheval qu'elle n'avait aps revu depuis quatre ans, mais sa mère s'en occupait, Lizize aussi, elle leure faisaient ocnfaince, mais tout lui manquait tellement..